Femmes contre-nature ou contre la nature?
C'est de cela qu'il s'agit dans ce recueil de nouvelles, de femmes qui à un moment ou un autre, se sentent à l'étroit dans leur rôle de femme, rôle imposé par elles-même ou par la société.
Frigide, stérile, vieille fille, pucelle...Elles sont toutes là, et dans cette galerie de portraits, nous pourrions bien figurer à un moment ou à un autre de notre vie...ah l'angoisse de ne pas avoir une épilation impec et du poil auX pattes juste avant un rendez-vous...
Bon, le format "nouvelles" n'est pas mon format préféré, et donc j'ai été assez déçue par ce livre. A chaque fin d'histoire, je reste sur ma faim aussi.
Trés vite lu, trop vite pour moi, on n'a pas le temps de s'attacher aux situations ou aux personnages.
A noter tout de même, l'épilogue, surprenant!

  Malgré son titre, ce roman n'est pas un polar, plutôt un roman noir, trés noir. On le lit d'une traite, la gorge serrée, tant il nous ramène à des faits divers dont on a beaucoup entendu parler. Et aussi, à d'autres cas dont on sait qu'ils existent mais qu'ils sont moins médiatisés, tant qu'il n'y a pas de passage à l'acte, mais jusqu'à quand?

Une jeune femme, Lisa, professeur d'italien dans un collège de la banlieue marseillaise, subit jour aprés jour, les violences et humiliations de ses élèves. Des petits caïds à qui personne n'a jamais posé la moindre limite, et lorsqu'on ose leur résister, n'hésite pas à taper sur les femmes, mère, soeur ou professeur.

Des filles aussi dans cette classe. L'une se prostitue le matin, avant d'aller en cours, et en tire gloire auprés des enseignants, puisqu'avec cet argent, elle, elle peut s'offrir les marques dont elle a envie. Il y a aussi cette jeune fille de 18 ans, venue d'Algérie, qui recommence à zéro en France, la meilleure élève de la classe et celle qui donne la force à la prof, chaque matin, de passer la porte du collège. Chaque soir, elle traçe un bâton puis les raye, comme un prisonnier qui compte les jours à tirer.

Cette jeune fille, dont le suicide pour refuser un mariage forcé, sera le déclenchement par Lisa du refus de subir. Subir les crachats, les menaces physiques, le vol de son sac à main et par là-même de son adresse, et du harcèlement à son domicile.

Dans ce roman l'angoisse monte crescendo, on sent venir le drame, mais qui ne sera pas celui auquel on s'attend. Loin des discours convenus sur les jeunes de banlieue, l'auteur dans ce livre, refuse de faire passer les bourreaux pour des victimes, et ne leur trouve absolument aucune excuse. Nous non plus.

 Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   Woody Allen

Parce que parfois, on s'y ennuie.

Parce que souvent, on y a des idées qu'ils ne faut pas laisser s'envoler

Pour que mes hôtes y laissent un mot ou deux ou trois

J'ai voulu un mur noir tableau, aussi beau que pratique!

J'avais dit oui à ces vacances dans le Morbihan, un peu à contre-coeur, tant il me semblait que loin de la Méditerranée, je ne pourrais pas les apprécier... Quelle belle bêtise, de la presqu'île de Quiberon, j'ai tout aimé, les paysages sauvages, le ciel si changeant mais qui fait aimer la pluie puisqu'on sait qu'elle sera suivie aussitôt du soleil, la plage à marée basse, à marée haute, la pêche à pied et le farniente à l'abri des rochers. Les petits marchés, où l' on se rend en vélo à la rencontre des producteurs ou des pêcheurs locaux. Le petit port de Portivy, le café où l'apéro dure des heures, d'où on observe les personnes se faire copieusement arrosées par les vagues sur la jetée, et le retour des bâteaux. Un village préservé, sans trop de monde, qui fleure bon les vacances dans les maisons de famille, les tribus d'enfants en marinières et épuisette sur l'épaule et les crêpes beurre-sucre pour le goûter...

Ce livre est comme une friandise d'autrefois, un bonbon à la violette ou au coquelicot. Bien loin des machins acidulés et piquants d'aujourd'hui.

Il se déguste avec lenteur, un brin de nostalgie. Pas triste, non, assez optimisme plutôt. Emily est une vieille dame de quatre-vingt ans, elle vit dans une petite ville des Etats-Unis, à notre époque. Mais elle pourrait vivre n'importe où, en France ou ailleurs. C'est une vieille dame trés digne, qui a la chance d'être en forme et sans soucis véritables. Ce livre sent bon la cire des meubles, la poudre de riz, et peut-être l'eau de Cologne avec laquelle Emily, attachée à son apparence, se parfume. Elle est veuve, ses enfants sont loin et cette solitude lui pèse, même si elle a avec elle, un vieux chien Rufus. Sa seule amie est Arlène, sa belle soeur, les autres, une à une, elle les voit disparaître et assiste à leur enterrement. Forcément, elle pense à sa propre disparition, a mis en ordre ses papiers, a tout prévu pour que le jour venu, ses enfants ne soient pas embêtés avec les tâches administratives.

Emily aime l'ordre, la propreté, les listes des choses à faire et en barrer les éléments. Elle aime la soupe à la tomate en boîte Campbell's, les petits déjeuner au salon de thé du coin et partager ses états d'âme avec sa femme de ménage, qu'elle traite comme une personne de la famille. Emily est une adorable vieille dame, qui vit dans ses souvenirs, ceux d'une Amérique insouciante, d'un temps où on roulait en  Oldsmobile bleu pastel, où on faisait des barbecues en famille, avec les voisins, dans les jardins de maisons toutes neuves, où on travaillait beaucoup pour bien gagner sa vie, comme son mari. Elle s'adapte cependant au changement, les USA ne sont plus aussi glorieux, la crise est là. Elle essaie d'aider ses enfants et petits-enfants, n'aime pas trop sa belle-fille mais ne le montre pas. Envoie à chaque fête des cartes de voeux à chacun de ses petits-enfants et est triste de ne rien recevoir en retour.

Dans ce beau roman, on va partager quelques moments de la vie d'Emily, de Thanksgiving à la fin juillet, enfin le temps pour elle de retrouver tous les siens pour des vacances en famille au bord d'un lac, comme au temps où elle était plus jeune. Le temps est rythmé par les saisons, les évènements familiaux, la vie s'écoule tout doucement et paisiblement, et nous, lecteurs, on suit, on se laisse porter et c'est tellement bon.

Vraiment, voici un trés joli livre, que je vous recommande. Je découvre cet auteur, et je vais m'empresser de chercher ses autres livres.

...et l'envie de plats frais.

Terrine de poisson à la ciboulette:

- 500 g de filet de poisson (j'ai choisi du cabillaud)
- 4 oeufs
- 20 cl de crème liquide
- 50 g de pain rassis trempé dans du lait
- sel, poivre, ciboulette

Préchauffer le four à 150°
Séparer les blancs des jaunes et les monter en neige, réserver.
Mixer les filets de poissons avec le pain essoré, ajouter le sel et le poivre, les jaunes d'oeufs puis la crème et la ciboulette.
Ajouter délicatements les blancs en neige.
Verser dans un moule à cake, cuire 1h15 dans un bain-marie chaud. Démouler et laisser au frais au moins 6h.

Servir avec un coulis de tomate, ou une mayonnaise légère, ou encore une sauce à la crème/ciboulette.

Les chineuses savent bien que lorsqu'on cherche, on ne trouve pas...alors que je cherchais tout autre chose, ce dimanche, finalement, j'ai trouvé :-)
Quelques objets de mercerie, un peu de nettoyage et de restauration s'impose mais de bien jolies trouvailles. Les dentelles ont déjà été lavées soigneusement à la main, il me reste à les ranger  pour vous les proposer...

Hier soir, un appel.
La personne au bout du fil me demande si je suis d'accord pour participer à une journée des artisans, dans mon village. J'avais oublié à quel point, dans un petit village, les informations vont vite, j'avais dû glisser à une personne ou deux quelques mots de mon projet de brocante. Sans réfléchir, j'ai dit oui, convenu des détails techniques, mais aprés avoir raccroché, une bonne dose d'angoisse tout de même. Et si je n'en étais pas capable, et si ce projet n'était qu'un rêve pas réalisable, et si je n'y arrivais, et si  je n'avais pas assez de stock ou de linge à exposer  et si je loupais toutes mes teintures et si et si et si et si.... Parce que là, c'était se frotter à la réalité, et savoir rapidement si le bébé était viable ou  remballer tout, s'il y a vraiment des personnes intéressées par ce que j'ai l'intention de proposer. En même temps, ce projet me tient tellement à coeur pour de multiples raisons que je me dis que je ne suis pas du genre à baisser les bras et à me laisser bousiller l'optimisme :-) Je découvre le plaisir qu'il y a à imaginer, concevoir, porter un projet. Convaincre les autres que oui, mon idée est valable, et je sais que j'y arrive. Et puis surtout j'ai véritablement l'envie de faire partager ma passion pour le linge ancien, ce n'est pas un objet comme les autres. Ce linge a vécu, a souvent une histoire, a participé à bon nombre d'évènements heureux ou pas... mais il est tout sauf anonyme et sans âme. Vendre ce linge, c'est aussi vendre un petit bout du passé, un brin nostalgique mais pas tant que ça, c'est vendre aussi l'atmosphère surannée des maisons de famille, des armoires de grand-mère et des galopades d'enfants dans les couloirs des vieilles maisons... euh, vous me suivez ?!! Quand je suis partie, on ne m'arrête plus, je me crois encore devant mon conseiller Pôle Emploi, en train d'essayer de le convaincre... le convaincre, je ne sais pas, mais sa femme m'a acheté des trucs :-))

Donc, le 22 novembre, si vous passez dans le coin, venez me voir :-))

J'ai profité de quelques rayons de soleil et surtout du vent pour essayer de tirer quelque chose de ces  pièces de linge... et le résultat me plaît, même si je n'arrive pas à savoir à quoi ce linge a pu servir, cela ne me semble pas être des draps, chaque pièce est formée de plusieurs morceaux, le centre parait être un lin ou du chanvre trés rustique et le tour, un lin plus souple, tout est cousu à la main. Je crois que j'ai une petite idée pour son utilisation...

J'ai fait un lavage à 60°, aprés avoir laissé tremper le linge plusieurs heures dans un mélange eau de Javel/ lessive. Je n'utilise jamais l'eau de Javel pour blanchir le linge, elle abîme de façon irrémédiable les fibres du tissu, mais là, en raison de l'état du linge, et aussi par égard pour notre petite famille dont je lave le linge dans la même machine :-), j'ai pensé qu'il fallait un bon désinfectant. Je pense qu'un second lavage sera nécessaire, mais le plus dur est fait :-)

En Normandie, il y a des endroits où le temps semble s'être arrêter. Ce petit village là, Vieux Port,à quelques kms de chez moi, entre forêt de Brotonne et Seine, n'est indiqué nulle part, nul panneau indicateur n'en donne la direction, peut-être que lorsqu'on habite un tel petit coin de paradis, on tient à sa tranquillité...

Sans doute la dernière de l'année,  et je vais enfin pouvoir terminer l'ameublement du bureau aprés un peu de nettoyage...

Bien cachés, il fallait tout faire entrer, il y a aussi un vieux chevalet de peintre, une lampe de mineur, un joli cadre en bois décorés de rose, un ornement en bronze...les photos bientôt!

Petits détails de la chine de dimanche, de jolies trouvailles à mon goût, mais un gros travail de nettoyage et de rénovation en perspective aussi :-)

Un ancien vestiaire des PTT qui va devenir armoire dans une chambre de garçon, une lampe d'administration pour le bureau, une lampe de mineur avec encore sa bougie, un chevalet qui va servir à présenter un pêle-mêle, un cadre aux roses à patiner ainsi qu'un joli ornement en bronze...

Petite déception que ce livre, je n'en ai pas saisi le sens, ou je suis passée complètement à côté.
Est une réflexion sur l'écriture, la difficulté d'être romancier, est-ce une reflexion sur la famille, sur la fin de l'enfance, sur la manipulation d'une enfant convaincue de protéger sa soeur, sur les secrets de la noblesse britanniques... c'est un peu tout ça à la fois, mais je n'ai pas vraiment accroché, et chose rare, je ne suis pas arrivée à la fin du livre.
Il s'agit d'un drame familial, une petite fille férue d'écriture, va accuser à tort le fils de la gouvernante du château, à la veille de la guerre en Angleterre. Et des année plus tard, on retrouvera cette petite fille sous les traits d'une vieille femme. Je vous laisse vous faire votre propre idée sur ce livre.

La neige a ceci de bon qu'elle m'oblige à rester à l'intérieur, je suis une vraie marmotte en hiver, et je m'occupe deci delà...

Un joli cadre en bois, trouvé par hasard en allant chercher mon vestiaire métallique dans le fouillis d'un vieil atelier, qu'est ce qu'il faisait là ?! Même le propriétaire ne le savait pas J'aime beaucoup ses guirlandes de roses.

Un lustre en bronze, toujours trop bling-bling pour moi, donc adouci dans un ton lin clair...

Et puis sinon côté boutique, les rubans à initiales sont (enfin, je sais :-) !) en ligne

Une entrée de saison, et j'ai utilisé comme contenant les petits pots de yaourt vintage de Bonne Maman...

Crème de courgettes glacée:

Pour trois verrines:
3 courgettes
un bouillon cube
un yaourt bulgare ( j'ai utilisé un yaourt maison, ça marche aussi )
toutes les herbes du jardin: persil, ciboulette, coriandre etc...
ail, sel poivre

Faire cuire dans le bouillon cube les courgettes jusqu'à ce qu'elles soient tendres. Les égoutter, les mixer avec le yaourt, l'ail, les herbes et le sel/poivre. Mettre en verrine et laisser au frais plusieurs heures.
Pour servir, on peut ajouter des copeaux de parmesan frais, ou bien des tranches de lard trés fines grillées sur la plaque du four jusqu'à ce qu'elles deviennent croustillantes comme des chips.

Pour recycler des torchons un peu trop usés, un petit sac à pinces à linge. J'ai trouvé l'idée dans le livre Esprit de famille, un peu agrandi, je dois avoir davantage de linge à laver que l'auteur, et donc plus de pinces à linge :-)

La petite touche finale, merci Françoise, tu vois, elles me servent ces initiales :-)

Je n'ose pas vous dire depuis combien de semaines d'années cet ouvrage est commencé... mais finalement, je ne suis pas pressée, j'aime  laisser vagabonder mes pensées en brodant, poser puis reprendre mon ouvrage le temps d'un point ou deux ou dix, et finalement cela m'importe plus que de voir l'ouvrage terminé. Non, je ne me cherche pas d'excuses, je vous assure :-)

Les 9 alphabets 1900 de Mariska, en 1/1 fil sur du lin 14 fils teinté au thé et le rouge 816 de DMC.

Envie de voir la plage sous la neige, nous sommes partis pour Cabourg, hélas, impossible d'y accéder. Nous avons rebroussé chemin, et fait un tour sur les planches à Trouville, j'aime tant les belles endormies l'hiver...

A Trouville, un nouvel endroit gourmand à vous recommander, la crêperie Au Vieux Normand, sur les quais. On y sert des galettes divines ( hum la savoyarde aux trois fromages avec sa salade aux petits croûtons :-) ), et l'avantage de cet Endroit, le service est permanent. C'est tout petit, mais l'endroit est chaleureux. Pour une balade digestive,l faut vraiment ne pas hésiter à quitter les quais et à emprunter les petites rues, avec une multitude d'antiquaires.

Le week-end,  nous sommes souvent 7 chez les Esprit Campagne, et nous nous retrouvons à 2 durant la semaine. Inutile de vous dire que j'ai dû apprendre l'art d'accommoder les restes!
Avec un reste de brioche, j'ai tenté ma version du Gloubiboulga, vous vous en souvenez?
L'île aux enfants, le pays joyeux, casimir, et tout ça?!
Cela fait déjà au moins 30 ans!
Non ?!
Si, si je te le dis, lectrice chérie!
Bon, pour faire plus chic, on peut l'appeller pudding si vous voulez...

Pudding à  ce qu'on veut

-restes de brioche (des brioches individuelles que j'avais évidées et fourrées avec un mélange oeufs brouillés,aneth, crème et lanières de saumon fumé)
-2 oeufs
- 50g de sucre roux
- 1/2 l de lait
- abricots secs coupés en dés (mais ça peut être des fruits frais, d'autres fruits secs, des copeaux de chocolat...)
- cannelle en poudre

(la recette est plus longue à écrire qu'à réaliser!)

- Battre les oeufs et le sucre, ajouter le lait.
- Incorporer les restes de brioche, puis les fruits secs, la cannelle
- Faire cuire 40mn à th 6
Servir tiède,c'est encore meilleur le lendemain légèrement tiédi au four, le coulis n'est pas nécessaire c'est mon alibi santé, vous savez, les 5 fruits et légumes par jour :-))

Lectrices chéries, mes amies, mes sœurs, aujourd'hui est un grand jour.... Une information capitale, est pourtant passée presque inaperçue.

Pendant des lustres, des années, à longueur de pages de Cosmo, Elle, Biba et autres Marie-Claire, on nous a seriné que si, nous, on ne savait pas où était notre point G, c'était qu'on était de pauvres gourdasses, pas du tout libérées et même osons-le, coincée du fu, qu'à côté de nous,  Thérèse, du Père Noël est une ordure, c' est une vraie bombe sexuelle.
Je pense avec  sympathie à toutes celles  qui pendant des années ont contribué activement à sa recherche, mais vainement, persuadées qu'il y avait forcément un truc qui débloquait dans leur corps ou leur tête, puisque chez elles, point de point F, G ou H.

Tout ça pour qu'aujourd'hui des chercheurs anglais nous révèlent  la non-existence de ce fameux point, selon eux....

D'où cette conclusion, soit oui, nous avons été bernées et culpabilisées durant des années... soit, les anglais sont moins bons au lit que les français: CQFD messieurs les chercheurs....

Gode save the Queen :-)

dessin Chimulus

Mon point G va bien, merci, où l'ai-je fourré déjà?!!

Je vends ces tissus, je sais que je ne tâterai pas du patchwork :-)

4 coupons de 51 x 54cm

Réservés

4 coupons dont deux tissus Moda (les fleuris) de 0,30x1 m, les deux autres: 50x56cm

Réservés

Un coupon à fleurs, Tilda, 50x70cm et un coupon rayé 42x75cm

Réservés

2 coupons toile de Jouy, 1x1,40m et 42x75cm

11 €

Réservés

Paul est un fermier frustre et violent, un homme d'un autre temps, où il était courant de taper sur sa femme lorsque celle-ci obéissait moins bien que les bêtes. D'ailleurs Paul préfère, et de loin, la compagnie de ses animaux à celle de sa femme, qu'il surnomme Vulve, et sur laquelle il cogne allégrement. Vulve est malade mais son mari refuse de prendre en compte cette maladie, il sera pourtant obligé de le faire. Un ouvrier agricole portuguais viendra lui donner un coup de main à la ferme, et sa venue va tout bouleverser. Paul portera enfin un autre regard sur sa femme, les autres, sur sa vie aussi.
L'écriture de ce livre est tout aussi frustre que Paul, plus du langage parlé que de l'écriture d'ailleurs, malgré sa violence, elle en devient presque poétique. dans ce livre Noelle Revaz  s'interroge sur les rapports homme /femme bien sûr, sur le fait qu'il est bien difficile de donner de l'amour lorsqu'on n'en a pas reçu. C'est un joli livre, même si l'écriture nous bouscule et nous met mal à l'aise souvent.

Petit nettoyage de printemps avant l'heure... je vide mes armoires pour mieux les remplir :-)

Pochettes de 6 monogrammes,  dimensions entre 2cm pour les initiales VT à environ3/ 3,5cm pour les autres. 18 € la pochette, frais de port offerts.

Lot de 2 monogrammes P, haut.4cm, 8 € , frais de port offerts.

Monogrammes, initiales entrelaçées, toutes différentes, diam. 2 cm, 15€ le lot

Parfaite en plat complet accompagnée d'une salade verte...

Tarte aux épinards et jambon aux herbes:

1 pâte feuilletée pur beurre
500 g d'épinards frais
2 tranches fines de jambon aux herbes
2 oeufs
25cl de crème liquide
parmesan frais
sel, poivre, ciboulette.

Faire revenir les épinards dans un peu d'huile 3 ou 4 mn. Foncer un moule à tarte avec la pâte, la piquer à la fourchette. Disposer les épinards bien égouttés, puis le jambon taillé en lanières. Battre les oeufs et la crème, ajouter du parmesan fraichement rapé, selon votre goût. Saler légèrement, poivrer et verser sur les épinards. Couper la ciboulette aux ciseaux par dessus et cuire 40mn th 7.
Plus facile franchement, il n'y a pas !

Ne vous fiez pas à la photo, moche j'en conviens, mais bon, quand je m'en suis aperçue, hélas, la tarte était engloutie :-)

Je suis la jolie initiative de Beige et Blanc, de voir la vie en rose. J'ai choisi la version trés girly,  cette couleur a vraiment le don de me mettre de bonne humeur.  Pour ce montage, j'ai emprunté quelques accessoires à ma fille qui partage mon goût pour cette couleur, à vous de deviner lesquels...

Cette couleur est assez étonnante, à mon sens. Elle est à la fois symbole de l'enfance, mais aussi de la féminité. A condition de la choisir en version shocking, sinon elle vire vite au rose un peu mièvre voire nunuche :-), je trouve. Mais une touche de rose nous rend tout de suite plus optimiste.

A vous de poursuivre si vous le souhaitez...