Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Esprit Campagne, la vie en mieux

Newsletter


L'art de vivre dans le sud ouest
 

E-Shop

LOGO-VG

3 février 2010

Les fils Simply Shaker

Ces fils ont des tonalités fanées, trés jolies pour des reproductions de vieux samplers.

DSC01607


DSC01608


DSC01609


DSC01610

Réservé





Publicité
3 février 2010

Petite brocante de tissus...

Je vends ces tissus, je sais que je ne tâterai pas du patchwork :-)

DSC01595

4 coupons de 51 x 54cm

Réservés


DSC01600

4 coupons dont deux tissus Moda (les fleuris) de 0,30x1 m, les deux autres: 50x56cm

Réservés


DSC01601

Un coupon à fleurs, Tilda, 50x70cm et un coupon rayé 42x75cm

Réservés



DSC01602

2 coupons toile de Jouy, 1x1,40m et 42x75cm

11 €

Réservés



3 février 2010

Un roman français, de Frédéric Beigbeder

unromanfrancaisDe Frédéric Beigbeder, je ne connaissais que les chroniques dans Voici (on ne peut pas lire que des trucs sérieux), et je n'étais pas emballée. Pas plus emballée d'ailleurs par les multiples interviews qu'il a donné à la sortie de ce livre. A le voir partout, je n'avais plus envie de lire son livre. Oui, je sais, je l'ai lu quand même, paradoxe, paradoxe.
Bon, le livre, qu'en dire. D'abord que c'est un livre à deux entrées. Une partie épouvantablement geignarde où Beigbeder se lamente de son sort, avoir été chopé par la police en flagrant délit de se faire une ligne de coke sur le capot d'une voiture. Comme si la notoriété devait mettre les gens célèbre au-dessus des lois, et lui assurer une totale impunité, ou du moins, un traitement de faveur. Cette partie est sans intérêt, franchement, il en devient même énervant de naïveté en étant certain d'échapper à une sanction. La seconde entrée, est une évocation de son enfance de petit garçon assez favorisé, entouré de parents divorcés mais aimants, et d'un frère qu'il jalouse tout en faisant tout en faisant son possible pour ne pas lui ressembler. Celui-ci reçoit la Légion d'Honneur le jour où lui est placé en garde à vue. Son enfance va se construire autour de ces deux axes, son amour pour sa mère et son père dont il ne comprend pas le divorce et l'admiration pour son frère, tout son contraire: catho, bon père de famille et PDG d'une grande boîte. Cette partie là est assez intéressante, malgré ses lamentations continuelles, avec des réflexions très justes sur la famille, j'aime beaucoup sa façon d'en parler, et des références aux années 70 qui m'ont rappelé pleins de souvenirs. Vous savez, l'époque du carré blanc en bas de l'écran de télé, les berlingots de lait concentré à la fraise et au chocolat, les jeans velours NewMan et les sous-pull en acrylique qui faisaient des étincelles quand on les ôtait (ça, Beigbeder il n'en parle pas, ce sont mes souvenirs persos mais je suis sûre que ça pourrait figurer dans le livre :-)), et aussi lorsqu'on crayonnait les pièces de monnaie pour en fabriquer des fausses pour jouer à la marchande.
Dans ce roman, il nous la joue un peu "pauvre petit garçon riche" , ce n'est pas sa faute s'il se drogue mais plutôt une sorte de fatalité familiale, un certain goût pour le malheur.
Trés nombriliste, quelque peu déprimant, c'est terrible mais je ne suis pas arrivé à le plaindre ni, pire encore, à compatir. C'est horrible, j'ai un coeur de pierre :-)) !
A noter tout de même son portrait au vitriol assez drôle du procureur de la République, Jean-Claude Marin (celui de l'affaire Clairstream) qu'il habille pour l'hiver.

2 février 2010

A table...

02_02_2010


Vous me l'avez demandé, je l'ai fait, avec un temps pareil rien ne vaut le repassage pour se réchauffer! Alors plus fort que Barbatruc, on clique sur l'image :-)


2 février 2010

Sur les pas de Victor Hugo...

Je vous emmène en balade à Villequier, un petit village sur les bords de Seine, j'habite pile en face, sur l'autre rive.
Ce village n'est pas connu, mais il possède un joli musée Victor Hugo dans l'une des maisons où il a vécu avec sa famille. Et triste souvenir, c'est également à cet endroit que sa fille Léopoldine et son gendre se sont noyés dans la Seine, au cours d'une promenade en bateau. J'aime beaucoup me promener sur les rives, juste pour contempler les maisons qui bordent le fleuve.

Aie des mioches, torche-les, mouche-les, couche-les, barbouille-les et débarbouille-les ; que tout cela grouille autour de toi ; s’ils rient, c’est bien ; s’ils gueulent, c’est mieux ; crier, c’est vivre ; regarde-les téter à six mois, ramper à un an, marcher à deux ans, grandir à quinze ans, aimer à vingt ans. Qui a ces joies a tout."
L’Homme qui rit. Victor Hugo.


DSC01510

DSC01511

DSC01512

DSC01513

museevh
Maison Vacquerie: musée Victor Hugo


16_villequier

851985149

DSC01523

Publicité
1 février 2010

Aperçu...

BROCANTE_102

Juste un clic sur l'image, et c'est la téléportation mieux que Star Trek :-)

1 février 2010

Lundi...

DSC01548

(photo prise ce matin, en ouvrant mes volets)

Difficile le lundi de reprendre un rythme normal, aprés un week-end intense.... allez, c'est lundi mais ça ne durera pas. Bonne semaine!

( la neige est de retour, en Normandie, j'espère qu'elle ne fait que passer, cette fois!)

27 janvier 2010

Mieux que Voici...

..la rubrique pipole esspecialle basse-cour sur ce blog!
Et des nouvelles du petit nouveau (ou nouvelle, je ne sais pas :-) )sous un froid glacial mais un soleil magnifique.

DSC01500

DSC01501

DSC01503

27 janvier 2010

Petite lettre à mon fils...

L'homme auprès duquel je me suis réveillée ce matin n'est pas ton père, mais je pense à celui-ci avec beaucoup de tendresse et d'affection aujourd'hui. Je ne le remercierais jamais assez de t'avoir donné à moi, à nous, et de t'avoir fait comme tu es. Il y a aussi un peu de moi dans toi, enfin, je l'espère. Peut-être ta façon d'être toujours un peu à l'ouest, si semblable à moi...

Des kilomètres à courir derrière un vélo sans petites roues, des dizaines de châteaux de sable l'été et de bonhommes de neige l'hiver, des heures passées à faire réciter les poésies de Maurice Carême et les tables de multiplication, plein de gâteaux d'anniversaire en forme de château, de camp d'indiens, de bateau de pirates , des dizaines de nuits sans sommeil, des dizaines de sparadrap et quelques point de suture, des dizaines d'heures à convaincre que si, ça sert dans la vie, d'apprendre les capitales de tous les pays européens ou d'avoir son Bac, un mois entier, le plus long de ma vie, sans toi parce qu'il fallait que tu encaisses le choc de la séparation entre ton père et moi, et surtout, surtout, surtout des milliers de bisous. Et un jour, ça y est, tu as 20 ans et on n'a rien vu venir.


6060_1239310861682_1196592361_30731648_2545159_n


Parfois un peu agaçant, trop souvent dans ton monde, mais terriblement attachant, merci à toi d'être ce que tu es, d'avoir compris, accepté mes choix et créer une véritable complicité avec l'homme que j'aime. Je ne peux pas te rêver différent.

26 janvier 2010

Les Puces de Rouen..

Cette année, nous avons choisi le vendredi, le premier jour des Puces, pour essayer de faire de belles trouvailles. Les Puces de Rouen, c'est un régal pour les chineurs, à mi chemin entre une brocante et un musée, tant les objets présentés sont divers et parfois rares.

Mes achats, des bobines de fil de soie, et une bobine de ficelle de lin, deux services de tables nappes et serviettes, et des caractères d'imprimerie dont une esperluette !

DSC01480


DSC01482


DSC01483



DSC01476


DSC01479

Publicité
Publicité