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Esprit Campagne, la vie en mieux

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L'art de vivre dans le sud ouest
 

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6 octobre 2014

On the road again... en Angleterre, part one!

Nouveau séjour en Angleterre, avec cette fois-ci au programme, deux circuits qui nous ont fait découvrir la campagne anglaise. Nous avons parcouru tout d'abord The Cotswolds, une magnifique région située à l'ouest d'Oxford. Un véritable paysage de carte postale,  une succession de petit villages aux maisons couleur miel et d'une grande unité, rien ne dépare, pas de magasins ou de panneaux publicitaires, c'est tout simplement somptueux pour qui aime la campagne, les jardins, les belles demeures anglaises, bref nous avons adoré. Nous avons suivi The romantic road, sur deux jours, une toute petite route qui serpente entre les collines et la forêt, ponctuée de petites églises, de villages, de troupeaux tranquilles. On se perd souvent, la signalisation britannique étant assez fantaisiste et les panneaux bien souvent couverts par la végétation, mais ce n'est pas grave, c'est ainsi qu'on fait les plus jolies découvertes, comme ce champ de lavandes au sommet d'une colline.

 

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Les jolis villages se succédent sur la route des Cotswolds comme autant de perles sur un collier, ils sont tous plus beaux les uns que les autres, même si on a un peu de mal à imaginer qu'on est bien dans la réalité et non dans un décor de cinéma. On y croise des habitants, qui se promènent à pied ou à cheval, qui flânent avec leur chien ou jardinent, tout n'est que luxe, calme et volupté. Pas de paraboles, pas de magasins ou de stations service, pas de désordre apparent ou de maison en mauvais état.

Notre préféré, Stanton:

 

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Pour le road-book: nous avons pris le ferry Dieppe-Newhaven, puis remonter vers les Cotswolds en passant par Salisbury, Stonehenge (assez décevant). Nous avons choisi un BandB prés de Cirencester dans le bas de la Romantic Road, ce qui nous a permis de faire les deux boucles du circuit en deux jours. Je ferai un billet spécial bonnes adresses.

 

 

 

 

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16 septembre 2014

Work in progress...

Au gré de mes trouvailles, j'accumule quelques petits objets de mercerie, et plutôt que de les laisser dormir dans mes tiroirs, je les regroupe dans un tiroir d'imprimeur, dont les cases vides  se rempliront au fil du temps...

 

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15 septembre 2014

Peine Perdue, d'Olivier Adam

Je me réjouis à chaque nouveau livre d'Olivier Adam, certaine qu'il ne me décevra pas, c'est sans aucun doute l'un de mes auteurs français préféré. Ce roman ne déroge pas à la règle, il est pourtant assez différent des précédents, plus dans la forme que dans le fond. C'est souvent l'endroit où il situe son roman qui donne la tonalité de celui-ci, cette fois Olivier Adam a choisi d'écrire sur la Côte d'Azur, et donc ( oui, je sais, ça fait un peu cliché c'est l'unique reproche que je ferai à ce livre ) on va parler foot, pratiques magouilleuses voire maffieuses, bétonnisation à tous crins, chômage et illusions perdues. Ce sont là quand même des thèmes récurrents chez O. Adam, mais la misère n'est pas moins pénible au soleil.  Dans ce roman, on ne retrouve pas vraiment l'auteur lui-même (comme par exemple dans Les Lisières le précédent où il nombrilisait quand même à mort), mais il a choisi de donner la parole à une vingtaine de personnages, tous protagonistes de l'histoire, un chapitre par personnage. Olivier Adam écrit sur ceux qu'on n'entend jamais, sur les sans-dents pour reprendre une expression en vogue, ceux qui sont paumés dans leur vie et qui n'ont aucun espoir de s'en sortir. Il y a le footballeur qui aurait pu être trés bon mais qui est passé à côté de ses rêves, le vieux couple qui veut en finir ensemble avant d'être séparés par la maladie, l'ado en rupture de famille, une gamine devenue mère trop tôt, la travailleuse sociale qui tente d'aider les autres pour essayer d'oublier sa solitude et bien d'autres.... Peine perdue, cela signifie peut-être que pour certains, ils auront beau faire ce qu'ils peuvent, il est difficile d'échapper à son milieu social, à ce à quoi la société nous destine si on n'est pas né au bon endroit, dans les bons quartiers. Dans ce roman qui se déroule entre Marseille et Nice, une petite station balnéeaire qui ne vit que pour les touristes, on est loin du bleu, du soleil, de la plage et des gens heureux... On est en pleine tempête, il fait gris, moche et finalement tout échoue ou s'échoue sur ces plages rien moins que paradisiaques... Pas gai, Olivier Adam, c'est vrai, son truc à lui, ce sont les ratés, les ratés de la vie, les ratés tout court, mais c'est sans doute le meilleur écrivain pour dépendre le mal-être, le spleen, la désillusion. Son style d'écriture vous embarque, vous va droit au plexus, vous agace aussi parfois par sa noirceur ou par certains clichés faciles, mais on ne lâche pas le livre. A lire!

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12 septembre 2014

Menu d'automne

 

 

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Tartines figues-chèvre-jambon cru

- tranches de pain de campagne toastées

- une tranche de jambon Serrano par tartine

- figues fraîches

- une bûche de fromage de chèvre

- miel( liquide, de préférence)

- poivre, herbes de Provence

 

-Emincer les figues en tranches

- Sur les tranches de pain, disposer une tranche de jambon cru, puis les figues, poivrer, puis des rondelles de chèvre. Saupoudrer d'herbes, puis napper avec une cuillère à soupe de miel.

- Cuire 20 mn à 180°, terminer par 2-3 mn sous le grill (attention, le miel caramélise trés vite!) en surveillant (ce que je n'ai pas fait :-) )

Servir avec une salade verte.

 

 

Et pour le dessert, un crumble pêche-framboise!

 

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1 septembre 2014

Bouquet d'automne...

 

 

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31 août 2014

Mes livres

 

La-romanciere-Christine-Angot

 Je découvre l'écriture de Christine Angot, et j'aime beaucoup. Pourtant, jusqu'à présent, je n'avais rien lu d'elle, peut-être refroidie par les critiques dont sont l'objet chacun de ses romans.

A de nombreuses reprises, lors d'interviews je l'ai écoutée, et sa personnalité, sa façon de parler de ses livres, de son métier d'écrivain m'attire. Ses failles que l'on perçoit à travers ses mots aussi. C'e'st ce que j'aime dans ses romans, les écrivains bien portants et sûrs d'eux ne m'intéressent pas, les bons sentiments m'ennuient profondément. C'est pour ça que j'aime autant Olivier Adam, Houellebecq, Djian et d'autres encore.

Alors certes, il y a des passages crus dans son livre, mais ce n'est jamais fait pour provoquer, choquer, ça s'intégre parfaitement dans le passage en cours, Christine Angot parle souvent d'amour, et le sexe fait parti de l'amour, donc elle l'écrit, pas plus pas moins  que  la difficulté de l'attente, ou bien la douleur d'une rupture, celle qui fait pleurer des jours ou des semaines. Christine Angot écrit ce qu'elle vit, on peut aimer ou pas, mais jamais on ne doute de sa sincérité, il n'y a pas de calcul dans son écriture, pas de recette miracle utilisée pour faire un best-seller. Que ses livres plaisent ou non, elle s'en fiche un peu, l'écriture, c'est plus fort qu'elle et c'est pour elle une necessité. Alors, son écriture est assez bondissante, ça part un peu dans tous les sens, les dialogues s'insèrent parfois sans démarcation dans la narration, mais Christine Angot écrit comme elle ressent, parfois dans le désordre. Mais on lit facilement, on remet tout en place aisément,comme lorsqu'on écoute une amie nous parler d'elle, de ses sentiments.

J'ai lu Rendez-Vous, un de ses romans dans lequel elle évoque ses histoires d'amour, qui finissent mal en général... Elle y parle aussi de l'écriture, de la difficulté de tenir celle-ci à distance, de la violence aussi de certaines réactions face à ses livres mais avant tout de ses failles, de sa fragilité.

Elle me donne envie de poursuivre la lecture de ses romans, afin de mieux la découvrir, elle.

 

 

Et puis tout à fait autre chose, à l'opposé complet de ce qui précède, j'ai lu Trop, de Jean-Louis Fournier, un (tout,trop?) petit livre de 180 pages, dans lequel l'auteur part en croisade contre le trop qui régit notre vie actuelle: trop de choix, trop de diversité, trop de parfums dans les yaourts, trop d'auteurs de romans, trop de cadeaux pour les enfants, trop de plaquettes de beurre au rayon frais du supermarché...
Sauf que j'ai l'impression que JL Fournier finalement participe trop à cette cacophonie ambiante, il enfonçe des portes trop ouvertes avec ce roman qui se lit trop vite, en une demi heure (16€ quand même), écrit en trop gros, et finalement  ne nous apprend pas grand chose qu'on ne savait déjà. Bref, c'est selon moi
, le livre de trop.

 

trop

28 août 2014

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25 août 2014

Yport et Veulettes sur Mer, août 2014 Ce mois-ci,

Yport et Veulettes sur Mer, août 2014

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Ce mois-ci, il aura fallu ruser pour profiter du moindre rayon de soleil et admirer encore et toujours les belles couleurs de l'été normand.

 

 

 

21 août 2014

Trouvailles de chine...

 

Ce jour-là, mes trouvailles étaient sur le même thème, la lessive.  Des baquets en zinc, l'un servira pour mes plantations au jardin. Quant à l'enseigne, elle vient d'une ancienne fabrique de machines à laver à quelques kms d'ici et c'est sa couleur bleue passée qui a attiré mon regard...

 

 

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20 août 2014

Devoir de vacances

Nous nous étions fixés, en guise de devoirs de vacances, la réfection de notre chambre... La météo capricieuse nous a bien aidé, nous évitant des tentations de balades ou sorties à la plage, et donc devoir terminé à temps :-). J'aime beaucoup le résultat, je rêvais d'une chambre dépouillée, c'est  sans aucun doute la pièce la plus sobre de la maison, mais j'ai besoin de cette sobriété pour y paresser en toute quiétude. Nous avons posé un parquet en chêne, refait les peintures, 3 couches ont été nécessaires pour obtenir LE bon blanc, lumineux mais pas éblouissant,  réchauffé par les tons blonds du parquets et les rideaux, des draps anciens  en lin trés simples, qui ont encore leur couleur bis.

 

 

 

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Psstt...merci beaucoup à mes lectrices qui sont passées me rendre viste à Touques ce week-end, c'est toujours un moment heureux pour moi, vraiment!

 

 

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